Exemples - liens art.net.art

Portails art.net.art

http://kop.fact.co.uk/DIVE/cd/art/index.html

http://www.runme.org/

http://www.rhizome.org/

dico art médiatique et jargon

http://www.comm.uqam.ca/~GRAM/Accueil.html

http://www.linux-france.org/prj/jargonf/

L’art ascii

http://www.ascii-art.de

http://trake.teleweb.org/asciiphp/ascii.php

Flash

http://koti.mbnet.fi/reagan/lodger/ilove.html

http://www.villette-numerique.com/game/

http://www.flashfestival.net

Sons – interactivité.

http://www.audiogame.net  - marc em -

http://www.gratin.org/as/nanos/index.html -antoine schmitt-

Détournements

Hacktivisme

Né de la contraction de hacker et d'activisme, le mot désigne l'utilisation d'Internet pour défendre une cause. Les moyens utilisés sont variés, depuis l'envoi simultané de nombreux courriers à une même adresse, pour submerger le site de l'adversaire, jusqu'au crackage de celui-ci, le piratage de ce qui est stocké dans son ordinateur, en passant par le flooding, la convergence de requêtes vers un site afin d'entraîner son dysfonctionnement.

Déclaration d'Indépendance Manifeste hacktiviste:

http://www.hacktivismo.com/about/declarations/fr.php

http://www.france-mail-forum.de/fmf24/blo/24Edouar.html

How to become an hacker

http://www.catb.org/~esr/faqs/hacker-howto.html#what_is

(en français) http://www.secuser.com/dossiers/devenir_hacker.htm

http://www.critical-art.net/index.html

Rtmark

http://www.rtmark.com/homefr.html

rtmark (pour "registered trademark"), "société de courtage" américaine, se charge ainsi de financer et promouvoir certains projets "subversifs". Pour le Front de Libération des poupées Barbie, ils interchangèrent les puces de 300 Barbie et Ken afin que le "mâle" parle comme la "fifille", et vice versa. Une autre fois, ils réussirent à faire s'embrasser sur la bouche deux des guerriers d'un jeu vidéo particulièrement macho (80 000 copies furent vendues avant qu'on ne s'aperçoive du piratage). Leur dernier coup d'éclat est un site web qui se veut la réplique exacte de celui de Georges Bush Jr en vue d'en dénoncer l'hypocrisie et qui rappelle au bon souvenir du candidat conservateur aux présidentielles US certains de ses mensonges, ainsi que... son passé de cocaïnomane. Plusieurs millions d'internautes ont déjà visité le site, qui a été couvert par la presse internationale.

Utangente.fr

http://utangente.free.fr/anewpages/ac.html

thth

Librairie partagée

http://www.communitybooks.org/

Passe livre - une variante

http://www.passe-livre.com/philosophie.asp

the meatrix

http://www.themeatrix.com/

http://www.transfert.net/a9631

010010…

http://www.0100101110101101.org/

Google art

Le cloacking : Le cloaking - qu'on pourrait traduire par masquage, camouflage ou cachotterie - est une technique utilisée par certains sites web pour présenter une version spécifique ("cloakée") d'une page web à certains de leurs visiteurs préalablement identifiés. Ainsi, à une même adresse, deux internautes pourront voir des pages complètement différentes.

http://www.actulab.com/mangeur-de-cigogne.php

http://www.iterature.com/adwords/index_fr.html  - Christophe Bruno -

Après George Bush et Jean Dionis, c'est au tour de Jacques Chirac d'être victime d'une tentative de "Google bombing". En effet, c'est la page qui présente le Président de la République sur le site de l'Elysée qui sort en premier résultat sur Google pour le mot clé "magouilleur" :

http://www.google.fr/search?q=magouilleur

http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39146324,00.htm

Médias indépendants & outils d’édition et de diffusion

http://france.indymedia.org/

http://www.hns-info.net/

http://www.freespeech.org

http://www.videontv.org/

Créer sa webradio : http://www.shoutcast.com/

http://www.n5m.org/n5m4/medialibrary/index.php

wiki / weblog /
C'est un système de publication sur le web, un support de communication asynchrone, un mode de discussion, un stockage, un système de courrier, un outil pour travailler à plusieurs en collaboration, une manière amusante de créer des pages web ou de se laisser des messages éphémères ou alternatifs. Un territoire collectif dont le partage doit se rejouer chaque jour, et les modes de communication se déterminer en commun progressivement et au gré des usages constatés. Une juxtaposition de terrains privés dont les servitudes et autoroutes sont utiles et inutiles à la fois.

http://webgeneraction.levillage.org/article.php3?id_article=122

SPIP : http://www.spip.net/fr

Lois et réglementations : la LEN et l’IP directive.

Nicole fontaine présente la loi sur la confiance en l’économie numérique.

Dangers :

Une privatisation de la justice : les hébergeurs seraient obligés de se substituer à l'autorité judiciaire, en jugeant puis censurant de façon expéditive les contenus du Net. Il s'agit donc bien là, non pas d'une responsabilisation des hébergeurs, mais de l'instauration d'une justice et d'une censure privée et expéditive.
- une privatisation des opérations de police : les hébergeurs seraient obligés de se substituer à la police en effectuant un travail de surveillance de contenus.
- un filtrage du net aux frontières : imposé aux fournisseurs d'accès français, alors que ce filtrage non seulement est inefficace, mais surtout mènera à l'inaccessibilité à des millions de sites hébergés à l'étranger : Aucune démocratie n'a jamais osé imposer ce type de mesure qui se retrouve dans des pays comme la Chine.
- Une suppression de la notion de correspondance privée de la définition du courrier électronique : mesure clairement annoncée au sein même de l'assemblée par le député Ollier comme taillée sur mesure pour les majors, afin que des échanges de fichier musicaux ne bénéficient pas de la protection indue de cette notion."

L’IP directive – loi européenne.

La proposition de directive «relative aux mesures et procédures visant à assurer le respect des droits de propriété intellectuelle» (ou "IP Directive").

Présentée par la Commission européenne le 30 janvier 2003, voté en le 9 mars, La proposition doit attérir bientôt sur le bureau du Conseil des ministres qui pourrait l'adopter en première lecture dès le mois d'avril, pour une application effective en 2006.

les débats ont été dirigés par Janelly Fourtou, qui n'est autre que la femme du président de Vivendi Universal . Son objectif est de renforcer ces droits «afin de dissuader les contrefacteurs et les pirates». Les futures dispositions seront valables pour tous les secteurs, du tee-shirt Lacoste aux logiciels sur CD-Rom.

Elle comprend des dispositions très controversées, notamment du fait que les simples utilisateurs deviennent considérés comme des professionnels de la contrefaçon, même dans le cas d'une unique infraction non intentionnelle et non commerciale. De plus, par la création, au bénéfice des détenteurs de droits de tous pays, d'un « droit à l'information » et d'un droit à l'assignation légale pour obtenir des informations privées sur les citoyens européens, cette Directive viole la protection de la vie privée des citoyens européens.

http://www.vie-privee.org/
http://vnatrc.net/
http://www.afa-france.com/actions/explication_loi.htm
http://odebi.org/
http://www.iris.sgdg.org/
http://multitudes.samizdat.net/article.php3?id_article=1362#nb3
http://print.squat.net/move.html

Licences

Richard stallman, architecture du premier système GNU(gnu not unix- jamais réalisé complètement)  et de la licence GPL.(les logiciels libres) -1984
http://www.april.org/actions/rms/

Linus Torvalds, débute en 1991, l’écriture d’un système d’exploitation en gpl : linux.

Logiciel libre – GPL - :  la Licence Publique Générale (Général Public License) est destinée à vous garantir la liberté de partager et de modifier les logiciels libres, et de s'assurer que ces logiciels sont effectivement accessibles à tout utilisateur. Liberté des logiciels ne signifie pas nécessairement gratuité. Notre Licence est conçue pour vous assurer la liberté de distribuer des copies des programmes, gratuitement ou non, de recevoir le code source ou de pouvoir l'obtenir, de modifier les programmes ou d'en utiliser des éléments dans de nouveaux programmes libres, en sachant que vous y êtes autorisé.

La loi protège automatiquement et implicitement toutes les oeuvres de l'esprit par le droit d'auteur (ou le copyright pour les pays de droit anglo-saxon). Cette protection est, dans le cas du droit d'auteur, au bénéfice de l'auteur et contre toute forme d'usage par des tiers.
La mise à disposition d'une oeuvre, logiciel ou non, notamment sur l'Internet, doit donc être un acte volontaire et explicite. Cet acte s'exprime par l'adjonction d'une licence, qui est un contrat type proposé aux acquéreurs de l'oeuvre (gratuit ou payant) indiquant les droits qui leurs sont concédés, et les obligations éventuelles qui leur sont imposées en échange.

Le copyleft : une protection de l’auteur pour que le code source ne devienne pas un copyright par une personne tiers.

http://www.gnu.org/copyleft/copyleft.html#WhatIsCopyleft

Version limitée : pas possible de changer le code : http://www.linux-france.org/article/these/licence/lgpl/

Licence art libre : http://artlibre.org/

Licence Art Libre, l'autorisation est donnée de copier, de diffuser et de transformer librement les oeuvres dans le respect des droits de l'auteur.

Creative common : http://creativecommons.org/learn/licenses/
 la naissance des licences Creative Commons, dont la philosophie peut se résumer ainsi : "Share what you want, keep what you want". A mi-chemin entre le copyleft et le copyright, elles autorisent les auteurs à diffuser librement leurs oeuvres tout en se réservant certains droits ; le meilleur des deux mondes en quelque sorte.

Comprendre creative common : http://www.framasoft.net/article2185.html

Voir video : http://mirrors.creativecommons.org/getcreative/

Liste des licences disponibles
http://artlibre.org/licence.php/licences.html

http://www.aful.org/presentations/licences/index.html

Ressources

http://sourceforge.net/
http://www.fsfeurope.org/
http://www.opensource.org/
http://www.linux.org/
http://www.framasoft.net/
http://www.linux-center.org/fr/
http://www.homo-numericus.net/
these licence libre : http://www.framasoft.net/article1938.html

LE P2P : peer to peer (d’égal à égal)

Un réseau P2P est un réseau dont les participants mutualisent leurs capacités

Les contenus d’un réseau P2P ne sont pas fournis à des clients par un serveur central mais par les utilisateurs eux-mêmes qui se relient les uns aux autres sans relation hiérarchique. Sur Internet, le P2P est donc une forme de réseau dans le réseau qui correspond beaucoup plus à son architecture originale que le simple Web aujourd’hui familier du public. Pour atteindre cet objectif, les systèmes de P2P utilisent des protocoles appelés end to end qui permettent d’échanger des données directement entre machines, sans serveur central et sans contrôle

1. La mutualisation du calcul

2. La mutualisation du stockage

3. La mutualisation de la bande passante

4. La mutualisation des connaissances

le premier : napster

Ressources

ekart.free.fr

http://www.ratiatum.com/p2p.php

http://www.open-files.com/

FREENET

http://openpgp.vie-privee.org/freenet.htm

Freenet n'est pas un réseau Peer-to-Peer ordinaire. Né du travail de Ian Clarke, il prend racine dans l'idée que le contenu véhiculé sur Internet ne devrait pas pouvoir être censuré.

Il en résulte donc un réseau entièrement décentralisé et crypté où tous les utilisateurs restent anonymes. Le principe servi par un client open-source est extrême puisqu'il est même impossible de savoir ce que l'on transfère. Chacun participe à l'échange des données en offrant une partie de la place de son disque dur, mais sans jamais savoir à quoi elle sert

La riaa porte plainte contre des particuliers : http://www.transfert.net/a9252

Réseau wifi
Réseau  communautaire sans fil libre.
http://www.wireless-fr.org

GPU

http://gpu.sourceforge.net/